Printemps
gris aux larmes d’avril
Tu guettes en
nous les signes
D’une joie
que, seuls, nous pourrions
Laisser fleurir
en toi.
*
Pas de
réserves pour la route,
Seule la
manne du silence
Cueillie à
l’instant même
Sur le pollen
des jours.
*
Nul besoin de
hâter le pas,
Le but est
aussi le chemin ;
Ici est
gravée l’empreinte
D’un ciel que
tu n’espérais pas.
Jean Lavoué
Photo JL 9 avril 2018
.
Il y a des pleurs de sel
RépondreSupprimerSur les brumes du temps
des chemins trop mouillés
De pluie d'incertitude
Il a des cœurs de fleurs
Au silence des haies
Qui chantent la naissance
D'une fleur espérance
Il y a l'empreinte éphémère
Des pas des pèlerins
Qui guettent une lumière
Tout au bout de leur route.
Merci pour tous vos mots d'espoir semés sur nos sentiers de vie