samedi 1 mars 2008

Autour de quel centre,
De quel vide étrange,
Ta vie s’est-elle mise à vibrer ?

Tâche de le percevoir
Et reviens-y sans cesse !

Ces clairières ouvertes
Aux vents du large,
A toi de les vouloir,
A toi de les créer !

Il te fallait
Ces terres nues où respirer,
Guetter le moindre souffle,

Faire confiance au chant
Qui se murmurait.

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