jeudi 5 juin 2008

L’été vient de surcroît !
Tu n’as rien à vouloir,

Tu n’ajouterais rien
A sa clarté.

Laisse faire le solstice,
Laisse le soleil s’approcher !

Tu comprendras peut-être
L’indifférent amour,

Et cependant sa force,
Le poids de sa fidélité.

Tu connaîtras le prix
De la fécondité.

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