mardi 25 octobre 2011

Lac de Tibériade, 2007
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Rejoindre le Poème à sa source : en ce qu’il ne nous dit pas, nous ignorant. Et pourtant comment cela se fait-il qu’il nous émeuve tant, nous touche et nous bouleverse ? Quelle est cette prégnance qui nous atteint à la racine ? Cette consubstantialité, comme si soudain l’âme et le corps n’étaient plus séparés ; ce qu’ils n’ont d’ailleurs jamais été mais que l’on a cru : de ces fausses croyances le Poème tout à coup nous arrache, nous fait boire directement à la source.

JL







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