samedi 24 mars 2012

C'est pour savoir où je vais que je marche. Goethe

Il n'y a de chemin que si je le mène. Hadrien France-Lanord
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L’exode n’aura pas de cesse vers cette pensée de l’origine 
qui nous décentre radicalement du savoir et de nous-mêmes. 


Pour se laisser saisir par elle, il faut partir. 
Sans rien vouloir retenir, sinon la brûlure de l’éclat
quand il nous a touchés. 


Ce ne sont pas des mots, 
c’est un toucher indicible et secret 
que l’on emporte partout avec soi : 
l’imprenable joie.


JL


















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