Et si le temps était venu
De Le rencontrer
Non pas là où l’on avait cru L’enfermer
Mais sous l’eau des fontaines,
Dans chaque chemin creux
Où s’enfoncent nos pas
Dans les pas des humains !
Et sur la roche nue
Qui désormais affleure,
L’élémentaire de nos vies
Où nous sommes réduits,
Maintenant que le ciel
Se voit dans nos mains,
Et que la voûte des églises
Ne retient plus nos chants !
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