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Faire taire tant de bruits pour se laisser toucher ainsi en ce lieu du repos où toute pensée s’ordonne ;
se refusant à devenir elle-même sa propre fin,
mais se laissant sans cesse retourner en ce lieu du passage.
Confiante dans le fleuve qui naîtrait.
JL
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Blog Jean Lavoué "Saviez-vous que les arbres parlent? Ils le font pourtant! Ils se parlent entre eux et ils vous parleront si vous écoutez." Tatanga Mani, Pieds nus sur la terre sacrée... "Il faut reboiser l'âme humaine." Julos Beaucarne
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mardi 31 janvier 2012
lundi 30 janvier 2012
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C’est la main qui écrit :
lui laisser prendre toute la place
dans cet immense désert de silence
où il lui revient de dessiner les traces de la Présence qui nous cherche.
JL
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C’est la main qui écrit :
lui laisser prendre toute la place
dans cet immense désert de silence
où il lui revient de dessiner les traces de la Présence qui nous cherche.
JL
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dimanche 29 janvier 2012
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Se peut-il que l’écriture soit l’exercice de cet ancrage dans l’incertain, le non-su, dont tu reçois toute densité ? C’est en tous les cas ainsi que tu t’y fies. Non comme à la répétition indéfinie de tes croyances mais comme au creusement d’un espace délivré, au dévoilement d’une ouverture, indemne de réponses, capable de porter toujours plus loin la question.
JL
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Se peut-il que l’écriture soit l’exercice de cet ancrage dans l’incertain, le non-su, dont tu reçois toute densité ? C’est en tous les cas ainsi que tu t’y fies. Non comme à la répétition indéfinie de tes croyances mais comme au creusement d’un espace délivré, au dévoilement d’une ouverture, indemne de réponses, capable de porter toujours plus loin la question.
JL
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samedi 28 janvier 2012
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Tu le sais toi que le cœur se joue dans l’advenant, le surprenant, le déplaçant, comme par mégarde. Non pas dans le maintenu, l’assuré, le maîtrisé. La vie n’est rien de ce que tu sais à l’avance. C’est pour avoir laissé vacant qu’elle t’arrive, cadeau bienfaisant, laissant passage un jour à la croix nue par laquelle survient encore, c’est ta foi secrète, ton espérance brûlante, le plus inouï, le plus inattendu.
JL
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Tu le sais toi que le cœur se joue dans l’advenant, le surprenant, le déplaçant, comme par mégarde. Non pas dans le maintenu, l’assuré, le maîtrisé. La vie n’est rien de ce que tu sais à l’avance. C’est pour avoir laissé vacant qu’elle t’arrive, cadeau bienfaisant, laissant passage un jour à la croix nue par laquelle survient encore, c’est ta foi secrète, ton espérance brûlante, le plus inouï, le plus inattendu.
JL
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vendredi 27 janvier 2012
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Voilà, c’est ainsi que tu comptes,
sans sablier, sans horloge,
silencieux, immobile,
au carrefour du temps.
JL
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Voilà, c’est ainsi que tu comptes,
sans sablier, sans horloge,
silencieux, immobile,
au carrefour du temps.
JL
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jeudi 26 janvier 2012
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Demeurer dans ce courant :
il n’y a pas d’autre sens à ta quête.
C’est pourquoi tu fais confiance à l’inconnu.
Tu te fies à la nuit des signes.
JL
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Demeurer dans ce courant :
il n’y a pas d’autre sens à ta quête.
C’est pourquoi tu fais confiance à l’inconnu.
Tu te fies à la nuit des signes.
JL
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mercredi 25 janvier 2012
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L’écriture tu la sens mêlée consubstantiellement à ce jeu sous-jacent.
Comme une eau souterraine,
captant tous les courants,
les imperceptibles vibrations
faisant trembler la peau opaque des jours.
JL
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L’écriture tu la sens mêlée consubstantiellement à ce jeu sous-jacent.
Comme une eau souterraine,
captant tous les courants,
les imperceptibles vibrations
faisant trembler la peau opaque des jours.
JL
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mardi 24 janvier 2012
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Il arrive que le jeu des synchronicités
vienne dire avec précision
la justesse du temps accordé.
Comme l’oiseau se met à chanter au matin
et se tait la nuit venue.
La rencontre imprévue donne raison à tes silences,
ces coups d’épée, sans retours ni échos,
dans la nuit.
JL
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Il arrive que le jeu des synchronicités
vienne dire avec précision
la justesse du temps accordé.
Comme l’oiseau se met à chanter au matin
et se tait la nuit venue.
La rencontre imprévue donne raison à tes silences,
ces coups d’épée, sans retours ni échos,
dans la nuit.
JL
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lundi 23 janvier 2012
C’est la sincérité qui est le meilleur conducteur
dans la voie des transformations.
C’est par elle que s’accomplit le cycle infini des saisons.
Le printemps succède à l’hiver et l’automne à l’été,
non pas par paresse ou par simple évidence,
mais uniquement par sincérité à l’égard de ce que le temps porte en lui
de justesse intérieure à accomplir.
JL
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