Blog Jean Lavoué "Saviez-vous que les arbres parlent? Ils le font pourtant! Ils se parlent entre eux et ils vous parleront si vous écoutez." Tatanga Mani, Pieds nus sur la terre sacrée... "Il faut reboiser l'âme humaine." Julos Beaucarne
Traduire
jeudi 31 janvier 2008
mercredi 30 janvier 2008
mardi 29 janvier 2008
lundi 28 janvier 2008
dimanche 27 janvier 2008
samedi 26 janvier 2008
vendredi 25 janvier 2008
mercredi 23 janvier 2008
mardi 22 janvier 2008
lundi 21 janvier 2008
dimanche 20 janvier 2008
samedi 19 janvier 2008
Rien dont tu ne puisses faire ta toile,
Ton chevalet,
Ton bouquet de pinceaux,
Ta palette constellée.
Tes couleurs sont comme le vent,
Elles coulent entre les pierres
De ta royauté blessée.
Tu t’assieds sur ce qui fut ton pouvoir,
La couronne de tes illusions,
La bibliothèque de tes faux succès.
Tu laisses l’amour tout consumer.
Ton chevalet,
Ton bouquet de pinceaux,
Ta palette constellée.
Tes couleurs sont comme le vent,
Elles coulent entre les pierres
De ta royauté blessée.
Tu t’assieds sur ce qui fut ton pouvoir,
La couronne de tes illusions,
La bibliothèque de tes faux succès.
Tu laisses l’amour tout consumer.
mardi 15 janvier 2008
Ces heures glanées
Sur l’indicible,
Ta plus belle moisson,
Ta vie réconciliée !
Seule la rencontre
Donne du poids à ton existence !
Seul l’amour te densifie !
Tout ce que tu n’as pas su relier
Est perdu.
Ecrire était pour toi
Comme un shabbat
Où le silence te précédait.
Tu goutais sans rien taire
A sa joie imprenable.
Sur l’indicible,
Ta plus belle moisson,
Ta vie réconciliée !
Seule la rencontre
Donne du poids à ton existence !
Seul l’amour te densifie !
Tout ce que tu n’as pas su relier
Est perdu.
Ecrire était pour toi
Comme un shabbat
Où le silence te précédait.
Tu goutais sans rien taire
A sa joie imprenable.
lundi 14 janvier 2008
dimanche 13 janvier 2008
Celui que tu cherches n’est plus là.
Désormais c’est ce vide qu’il fait en toi
Que partout tu promènes.
Pourquoi les vocables sont usés,
Si fatigués,
Pour dire cela qui ne meurt pas.
Te retirant de tout savoir
Ne t’es-tu pas approché de toi ?
C’est la joyeuse liberté
Qu’il faudrait retrouver
Retourner le sérieux des jours
Pour dire le seul soleil
Qui les habite.
Désormais c’est ce vide qu’il fait en toi
Que partout tu promènes.
Pourquoi les vocables sont usés,
Si fatigués,
Pour dire cela qui ne meurt pas.
Te retirant de tout savoir
Ne t’es-tu pas approché de toi ?
C’est la joyeuse liberté
Qu’il faudrait retrouver
Retourner le sérieux des jours
Pour dire le seul soleil
Qui les habite.
samedi 12 janvier 2008
vendredi 11 janvier 2008
jeudi 10 janvier 2008
Tu avais fini par repérer
De quels signes tu avais bordé l’absence.
De quelques chiffres lumineux,
Neufs comme le jour,
D’un nom d’emprunt
Pour qui avait définitivement voué sa vie
A l’errance.
Et si c’était cela, pour toi,
Qui faisait structure et charpente.
Cette césure dans la chair à jamais,
Cette béance,
Comme une parole d’amour
Dans le roc de tes jours.
De quels signes tu avais bordé l’absence.
De quelques chiffres lumineux,
Neufs comme le jour,
D’un nom d’emprunt
Pour qui avait définitivement voué sa vie
A l’errance.
Et si c’était cela, pour toi,
Qui faisait structure et charpente.
Cette césure dans la chair à jamais,
Cette béance,
Comme une parole d’amour
Dans le roc de tes jours.
mercredi 9 janvier 2008
mardi 8 janvier 2008
lundi 7 janvier 2008
dimanche 6 janvier 2008
samedi 5 janvier 2008
vendredi 4 janvier 2008
jeudi 3 janvier 2008
mercredi 2 janvier 2008
Inscription à :
Articles (Atom)