Cet espace en toi
Sans ardoises,
Sans parois,
Par où le ciel s’engouffre
Et ces feux mal éteints,
Où trop souvent tu te consumes !
Le mur où tu poses ton front
Par quel miracle il te révèle ?
Tu ne sais où s’en vont ces carnets.
Comme le vent,
Tu ne les reprends pas.
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