
Blog Jean Lavoué "Saviez-vous que les arbres parlent? Ils le font pourtant! Ils se parlent entre eux et ils vous parleront si vous écoutez." Tatanga Mani, Pieds nus sur la terre sacrée... "Il faut reboiser l'âme humaine." Julos Beaucarne
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vendredi 29 février 2008
jeudi 28 février 2008
mercredi 27 février 2008
mardi 26 février 2008
lundi 25 février 2008
dimanche 24 février 2008
La fête qui s’ouvre
A l’orient de ta vie,
T’en sens-tu digne,
T’en crois-tu capable ?
Seul l’amour peut t’y entraîner,
Oublieux de tout,
Célébrant chacun de tes abandons.
Aucune de tes chutes
N’était mortelle.
Tu as renoué avec le poème
Parce que c’était ta vie,
Ton chant secret,
L’étoile qui toujours te précède.
A l’orient de ta vie,
T’en sens-tu digne,
T’en crois-tu capable ?
Seul l’amour peut t’y entraîner,
Oublieux de tout,
Célébrant chacun de tes abandons.
Aucune de tes chutes
N’était mortelle.
Tu as renoué avec le poème
Parce que c’était ta vie,
Ton chant secret,
L’étoile qui toujours te précède.
samedi 23 février 2008
vendredi 22 février 2008
jeudi 21 février 2008
mercredi 20 février 2008
mardi 19 février 2008
dimanche 17 février 2008
samedi 16 février 2008
vendredi 15 février 2008
jeudi 14 février 2008
mercredi 13 février 2008
Les mots,
Ils sont notre chair commune,
Par où nous inspirons,
Nous expirons…
Y aura-t-il un terme à ton amour,
Une limite à sa métamorphose ?
Reliée aux sources
Voilà comment tu sens cette écriture
Fracassant les tombeaux,
Lisible en plein ciel.
Et toi, de quel ami,
De quel frère gardes-tu l’empreinte,
De quelle chair oubliée ?
Ils sont notre chair commune,
Par où nous inspirons,
Nous expirons…
Y aura-t-il un terme à ton amour,
Une limite à sa métamorphose ?
Reliée aux sources
Voilà comment tu sens cette écriture
Fracassant les tombeaux,
Lisible en plein ciel.
Et toi, de quel ami,
De quel frère gardes-tu l’empreinte,
De quelle chair oubliée ?
lundi 11 février 2008
Ce souffle
Qu’il promettait
C’est de cœur à cœur désormais
Qu’il se transmettait,
Le baptême,
C’est de main à main
Qu’il se célébrait.
C’était maintenant
Le moment favorable
Que depuis toujours
Il annonçait !
La prophétie
Avait rejoint le seuil
De chaque journée.
C’était maintenant
Que le ciel s’ouvrait,
Juste à l’endroit
Où le paralytique en toi
Se redressait.
Qu’il promettait
C’est de cœur à cœur désormais
Qu’il se transmettait,
Le baptême,
C’est de main à main
Qu’il se célébrait.
C’était maintenant
Le moment favorable
Que depuis toujours
Il annonçait !
La prophétie
Avait rejoint le seuil
De chaque journée.
C’était maintenant
Que le ciel s’ouvrait,
Juste à l’endroit
Où le paralytique en toi
Se redressait.
dimanche 10 février 2008
samedi 9 février 2008
mercredi 6 février 2008
lundi 4 février 2008
dimanche 3 février 2008
A mesure que ton territoire s’apaise,
Tu perçois l’invisible qui grandit.
Tu marches au pas des saisons,
Toujours à l’affût d’une percée,
De ces trouées dont on ne revient pas.
Tous ces visages aimés
Qui te parlaient pourtant
En s’effaçant tout bas !
Le ciel peut bien se taire,
Toi tu l’écoutes quand même,
Tu ne le déçois pas.
Tu perçois l’invisible qui grandit.
Tu marches au pas des saisons,
Toujours à l’affût d’une percée,
De ces trouées dont on ne revient pas.
Tous ces visages aimés
Qui te parlaient pourtant
En s’effaçant tout bas !
Le ciel peut bien se taire,
Toi tu l’écoutes quand même,
Tu ne le déçois pas.
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