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dimanche 25 mai 2008

Il t’a suffit de relire
Chacun des titres de ses recueils,
De ses poèmes,
Pour te sentir soudain
De plain-pied
Dans sa vie rêvée.

Et ce cœur
Qui n’en finit pas de battre
Dans tes veines !
Est-ce à cause de la présence
D’Hélène ?

Où a-t-il appris
Ainsi à dilater,
Pleine poitrine,
La force qui le fait aimer ?

Il se peut que ce matin
Tu ais ouvert le livre définitif,
Et que seule la lampe qui brûle
A l’avant de toi
Le devine !

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