Traduire

lundi 12 mai 2008

Tu avais appris à ne pas retenir
Cela qui t’emportait,

Cet amour impalpable
Rythmant les marées de ton sang.

Il n’y avait qu’un lieu
Où le ciel s’ouvrait,

Qu’un estuaire
Dans l’offrande des jours,

Tu sentais de partout
Ses racines te prendre,

Tu espérais
La nuit de ses feuillages,

Tu laissais le courant
T’empoigner dans sa joie.

Aucun commentaire:

[URL=http://www.compteur.fr][IMG]https://www.compteur.fr/6s/1/6057.gif[/IMG][/URL]