Houat, le 31 mai 2016
Princes d’un royaume
Que nous visitons trop souvent en
aveugles
A peine voyons-nous trembler sous nos
yeux
Dans le jardin du monde
Le buisson de silence et de vent
Qui nous couronnerait
Notre île rajeunie
Nos amitiés solaires
Notre vie simplifiée
La table où s'arrimer
Sans craindre les courants
Nos oiseaux de passage
Nos chemins visités
Nos nids dans les courants
Nos routes sur la mer.
Jean Lavoué
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