Entre l’arbre
Et l’écorce,
Tu cherches l’espace
Où le jour respire,
Tu sens craquer les veines
De ta joie,
Tu laisses sourdre le ciel
D’un abandon en toi,
Comme un bruissement de vent
Sur tes bourgeons naissants,
C’est jusqu’au fond de l’âme
Que le printemps descend.
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