Il fait soleil sur les bords de ta vie
Dès que tu t’apprivoises,
Ne te laisse pas acclimater !
Tu es resté l’incroyable contemporain
De cette fleur coupée
Dont le parfum t’enivre.
Ah ! Si l’on pouvait entendre
Tous les chants silencieux
Qui emplissent la terre,
Tous les chants de douleur
Et tous les chants de joie !
Le monde enfin serait lisible.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire