La part
Que tu croyais perdue
Est devenue la part bénie.
Elle court
Dans les souliers du temps,
Elle chante à tue-tête
La nuit,
Elle n’a pas son pareil
Pour diviser la peur.
Elle est l’amie,
La souveraine,
Celle que l’on croyait enfuie,
Elle installe l’or du ciel
Sur les tréteaux de ta vie
Et toi, tu n’as que tes deux mains
Pour le changer en fruits !
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