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jeudi 24 avril 2008

L’un tient son journal émerveillé,
L’autre livre ses étincelles de nuit,

Toi tu laisses surgir ces carnets
Du souffle dont tu nais.

Un même mouvement
Vous porte aux frontières,

Mais pour toi, la clôture,
Seule l’écriture la dresse !

Pas d’autres vœux que de toucher,
Ici-même, l’instant sacré,

Partout où le vent te porte,
Dans chaque rencontre,
Chaque regard, chaque secret,

Tu guettes les indices
D’un amour en liberté !

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