Ces arbres, ces champs,
Ces toits, ces maisons, ces forêts,
Ces troncs alignés dans la mer,
En quelles écorces de ton enfance
Sont-ils gravés au canif,
En quelles feuilles de saules
Endormis leurs printemps ?
Et l’homme qui était ton père
Où a-t-il pu plier sa force,
Lui dont les bras
Elevant les foins
Faisaient face au soleil ?
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