C’est par touches successives
Que tu rassembles tes couleurs.
D’autres poèmes parfois
Fraient la voie au Poème.
Il te faut consentir
A ne jamais savoir où tu vas.
Tu te fies au journal lumineux
De celui-là de tes amis
Qui fit miracle de ses mains,
Incertain pourtant chaque jour
Du pas qu’il poserait,
Du ciel qui l’atteindrait,
De l’amour qui le brûlerait.
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