Le roc où tu avais bâti
C’était en toi ce sol nu,
Ce ciel dans tes mains
Dont toutes les cordes vibraient,
Le vent dont tu goûtais
La forte liturgie,
Le cercle exactement posé
Où ton silence respirait,
L’instant vertical
Dont tout l’espace jubilait,
La pierre toujours manquante
Où jamais tu ne reposerais.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire