L’été vient de surcroît !
Tu n’as rien à vouloir,
Tu n’ajouterais rien
A sa clarté.
Laisse faire le solstice,
Laisse le soleil s’approcher !
Tu comprendras peut-être
L’indifférent amour,
Et cependant sa force,
Le poids de sa fidélité.
Tu connaîtras le prix
De la fécondité.
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