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lundi 29 septembre 2008









Debout devant ton écritoire
Tu imites l’arbre en son poème.

Tu lui laisses tout le temps
De creuser la verticale
Entre le ciel et lui.

Tu cherches à te laisser glisser
Au puits sans fond
De ses silences.

Tu captes les étoiles bohémiennes
Qu’étrangement le jour efface.

Même la nuit tu te tiens là
Etendu dans l’axe du soleil.





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