La parole qui m’appelait,
Voilà qu’elle a ouvert en moi
L’abîme de son silence.
Il me suffit d’être là
Dans ce vide habité
Pour entendre sourdre sans bruit
L’espace qui m’engendre.
Voilà qu’elle a ouvert en moi
L’abîme de son silence.
Il me suffit d’être là
Dans ce vide habité
Pour entendre sourdre sans bruit
L’espace qui m’engendre.
.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire