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mardi 18 novembre 2008









Arbre,
Mon frère silencieux,
Tu prolonges le chant des hommes.

Ta prière
Est sans repos,

La nuit, le jour,
Transparente à tant d’oiseaux,

Tes paumes sans cesse
Cherchant le ciel,

Ton cœur posé
Contre l’oreille de la terre.





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