Dans la forêt des mots
Tu cherches la clairière
De l’arbre silencieux
Qui illumine.
Tu ne le trouves pas,
L’Imprononçable.
Tu l’entrevois parfois
Comme le cerf aux abois.
Tu cherches la clairière
De l’arbre silencieux
Qui illumine.
Tu ne le trouves pas,
L’Imprononçable.
Tu l’entrevois parfois
Comme le cerf aux abois.
Je pose un pas toujours plus lent
Dans le sentier des signes
Qu'un seul frémissement de feuilles effarouche
J'apprivoise les plus furtives présences.
Gustave Roud
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