Pour Odile
La musique qu’elle aimait
Cette voix que le soleil arrime
Et tout au bout des allées
Cette terre incendiée
Comme un brasier de fleurs
Seul le cœur dit l’immortel
Les pétales un à un déposés
Sur l’azur
Et sur l’autel du temps
Les visages qu’elles signaient
Encore tout étonnés
De son rire de printemps
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