Son visage était dans sa voix
qui avait l'aisance d'une étrave
Son souffle n'était tenu
que par le vent qui l'écoutait
Il lui fallait sans arrêt
sur la ligne des crêtes
tenir à deux mains
le balancier des jours
N'omettre surtout
jamais de marcher
qui avait l'aisance d'une étrave
Son souffle n'était tenu
que par le vent qui l'écoutait
Il lui fallait sans arrêt
sur la ligne des crêtes
tenir à deux mains
le balancier des jours
N'omettre surtout
jamais de marcher
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