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J’aimerais trouver les mots
Qui disent encore l’empreinte
Gardiens du souffle
Et de la voix
J’aimerais que le poème
Côtoie un jour la prophétie
D’une ferveur patiente
D’une ignorance étoilée
*
Mais je prie
Je joue à la marelle
Dans les casiers du ciel
Je laisse filer
Tant de nuages
Je vais à cloche-pied
Par les vases et les grèves
Je cherche partout le coquillage
Qui me renverra l’écho
Du doux nom que je cherche
Je noue à mon poignet le cerf-volant
Dont le chant silencieux
M’emporte à tire-d’aile
Qui disent encore l’empreinte
Gardiens du souffle
Et de la voix
J’aimerais que le poème
Côtoie un jour la prophétie
D’une ferveur patiente
D’une ignorance étoilée
*
Mais je prie
Je joue à la marelle
Dans les casiers du ciel
Je laisse filer
Tant de nuages
Je vais à cloche-pied
Par les vases et les grèves
Je cherche partout le coquillage
Qui me renverra l’écho
Du doux nom que je cherche
Je noue à mon poignet le cerf-volant
Dont le chant silencieux
M’emporte à tire-d’aile
.
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