Strasbourg, 1er novembre 2009
Pourquoi les morts
nous suscitent
Pourquoi les morts
nous déroutent
Pourquoi les morts
ne parlent bien
qu'aux enfants
"Les mots ont une peau, un visage, ils frémissent de tous les mouvements du corps. Il s'agit moins de regarder et de comprendre, à distance, que d'être saisi par un rythme de souffle, de se mettre en marche... L'enfant spontanément reçoit le choc du monde et le rejoue à sa manière unique... Vienne le temps qu'un seul poème né du silence vous donnera autant que tous nos livres bavards."
Jean Sulivan
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