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Ecrire comme un arbre qui pousse. Laisser venir les feuilles. Le poème est dans la poussée des mots, souveraine, tout autant que dans le vide entre eux qui leur permet de respirer. Comme le vent souffle entre les branches et murmure à l’oreille sa musique silencieuse. Dans la forêt des humaines rencontres comme il est bon de laisser aussi l’espace où se grave l’amitié. Les mots que nous nous partageons résonnent alors de toute la blanche lumière de leur naissance.
JL
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