Ces cahiers sont aussi ceux de l’exercice : exercices du souffle, ainsi que je les avais intitulés, ignorant alors tout de la voie qu’ils m’aideraient à découvrir : l’enfance de l’arbre, le Zhan Zhuang et ses postures de l’arbre, Le renouvellement complet de mes conceptions du monde, le creusement continu d’un chemin de souffle et vie : « nourrir sa vie » disent les chinois. Et bien j’ai trouvé dans le prolongement de ces carnets le lieu spirituel où nourrir ma vie, la pratique silencieuse engageant tout l’être et dont ils sont désormais l’expression.
JL
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