L’espace de la rencontre est ténu, incertain. Nul ne peut le dominer. Ouvrir, en l’absence de clé est son défi. C'est la peur nous fait croire que la porte est fermée. Or elle ne l’est pas. C’est nous qui refusons de la pousser. La seule serrure est en nous qu’il nous faut volatiliser. Préparer le corps à la rencontre est notre devoir le plus impérieux, le seul exercice qui nous convienne. Dénouer la tension, libérer le souffle, voilà le chemin au-delà de tout chemin.
JL
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