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lundi 11 juillet 2011

Nous ne sommes séparés
que par le frisson d'un tremble

Jules Supervielle
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Tu ne cèdes à aucun désir emprunté. Mais tout est porche en ta propre ouverture. Tu te tiens là devant, sans rien vouloir, sans rien nommer. Et pourtant il se peut que cela se nomme en toi, comme l’ajustement d’un son léger, l’harmonica imperceptible donnant le là d’une tonalité d’accueil inconditionnel et de joie.

JL






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