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vendredi 28 octobre 2011

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Jamais sans la souffrance, jamais sans l’apprivoisement de la mort et du deuil : la joie ! Traversée de toutes les illusions et cependant le chant demeure. Voilà ce que n’ont cessé de murmurer à nos oreilles poètes et prophètes de toutes traditions. Ils savaient la vie plus forte que la mort et c’est pourquoi leur chant ne nous quitte pas. Il nous revient aussi de le transmettre en en faisant pour nous-mêmes et pour chacun un poème neuf. C’est à cela qu’est suspendu notre souffle. Ne l’oublions pas !

JL







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1 commentaire:

Nout a dit…

Merci Jean, c'est une vrai bouffée d'air pur te lire!

Tes mots touchent toujours singulièrement mon vécu du moment. :)
Ils semblent répondre à mon coeur. C'est la magie de la poésie sans doute!...Poésie issue de la même source que celle des prophètes nous sommes bien d'accord!

Nout

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