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L’Evangile, il faudrait le lire aussi avec ce regard neuf, ces gestes légers. En saisir les mouvements infimes, les traces du Poème. Bien sûr que c’est d’un regard d’enfant dont il s’agit, d’oreilles collées aux coquillages où s’entendent le bruissement continu de la mer. De tempêtes apaisées et d’oiseaux blancs semblant guider le fleuve obscur de la vie. De grands coups de balais pour dégager les parvis du Temple. Et toujours des collines dénudées et des ciels qui palpitent dans les profondeurs de l’homme.
JL
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