Laissons-nous découvrir par les silences entre nos pensées,
entre les mots, entre les signes.
Laissons-nous rejoindre par les blancs syncopés du Poème
et demeurons-y.
Laissons-les grandir, envahir tout l’espace de notre présence,
sans retour sur nous-mêmes.
Perdons-nous dans ces vastes étendues
où nous devenons pas à pas ce que nous ignorons,
dans la jubilation d’un royaume.
JL
.
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