Les textes sacrés, ils sont inépuisables,
non par le savoir qu’ils transmettent
mais par les trous, les blancs, la chair blessée
qui laissent entrevoir la clarté qu’ils ne sauraient dire.
mais l’épaisseur de silence qu’ils recouvrent :
ces nuits d’abimes dont nous naissons chaque matin.
JL
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