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Un goût inimitable pour dire ce qui arrive
lorsque, soudain, passe le souffle
et qu’on entend sourdre l’indicible.
Le cadeau d’une grâce, légère, intraduisible
et cependant accordée, ici même,
dans la chair du sensible.
Comment ne pas s’en remettre au premier cri d’oiseau,
pépiement infime dans les feuillages du cœur.
JL
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