Tu ne sais plus dès lors si c’est dehors ou bien dedans.
Le feu couve dans les verrières.
Tu te fies à l’éclat sonore des vitres brisées.
Tu laisses l’espace gagner les carrés de tes rêves.
Les plantes que tu n’as pas semées flottent dans l’air léger
leurs racines agrippées aux fibres de ton sang.
JL
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