C'est pour savoir où je vais que je marche. Goethe Il n'y a de chemin que si je le mène. Hadrien France-Lanord |
L’exode n’aura pas de cesse vers cette pensée de l’origine
qui nous décentre radicalement du savoir et de nous-mêmes.
Pour se laisser saisir par elle, il faut partir.
Sans rien vouloir retenir, sinon la brûlure de l’éclat
quand il nous a touchés.
Ce ne sont pas des mots,
c’est un toucher indicible et secret
que l’on emporte partout avec soi :
l’imprenable joie.
JL
.
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