Il faut revenir à la sensation concrète de son corps. A celle de l’esprit qui bat la chamade, n’arrivant jamais à se poser, ébouriffé de craintes, de peurs, de désirs sans cesse…
Apaiser d’abord le corps, puis trouver pas à pas, par tâtonnement la jonction, le sourire intérieur, le cœur où s’apaisera à son tour le mental.
Dès lors lui confier le mouvement, l’esprit vif, en alerte. Le corps devient le souple instrument qui laisse passer.
Place au souffle, au fluide qui traverse, au silence d’une brise légère…
JL
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