Dans la pratique de l’écriture-parole, tu ne sais rien à l’avance.
Tu déblayes.
Tu laisses place à cette poussée qui cherche en toi passage.
Comme dans l’exercice corporel de l’arbre,
attentif à dénouer l’énergie du souffle,
à en ressentir la force et la puissance toute en douceur
dans les moindres jointures.
JL
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