La terre est sans fin.
Aussi ta demeure.
Tu n’en finis pas de retourner les solitudes de ton domaine.
Berger des grandes transhumances.
Tu veilles aux présences effacées.
Tu en gardes les traces.
Au plus haut de l’être.
Tu ne signerais pas si la voix ne se faisait entendre.
Tu portes le feu qui a troué la nuit et qui n’en finit plus.
Où sont les témoins d’un tel retournement ?
JL
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