Nous abordons le domaine du Souffle et du Poème
le plus souvent avec le même encombrement mental
que celui avec lequel nous abordons toutes nos relations.
La frontière de l’ego empêche le soleil d’entrer.
Nous sommes avec nous-mêmes comme en terre étrangère.
Nous ignorons le sel, l’étoile et la lumière :
comment laisserions-nous la main de l’amour
nous bénir, nous guérir, nous toucher ?
JL
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