Toi à jamais jaillissement
Propageant d'onde en onde
Ton souffle ombrageant
Vers le tout créé qui afflue
Parfois tu salues
Là-bas
L'homme cloué immobile
L'homme enseignant et saignant
Qui n'aura de cesse
A ton instar
De redonner vie
Au bois mort
François Cheng
Double chant
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