Au plus vaste des nuits
Allons vers cette fête
Qui cherche à nous étreindre
Et laissons-nous saisir
Par fraction de silence
Là il se fait jour
En cette auberge immense
Un chant secret au coeur
L’étoile n’a pas menti
Allons vers cette fête
Qui cherche à nous étreindre
Et laissons-nous saisir
Par fraction de silence
Là il se fait jour
En cette auberge immense
Un chant secret au coeur
L’étoile n’a pas menti
En
nous guidant ainsi
Vers
la maison du pain
Tant
d’arbres défeuillés
Nous
ouvraient eux aussi
L’espace
et le chemin
Et nous n'aurions pas cru
Ce vide lumineux
Qui nous accompagnait
Ni ce soleil levant
La trouée où l'hiver
Tout à coup rajeuni
Nous livrait sans attendre
Un fabuleux printemps
Jean Lavoué
Et nous n'aurions pas cru
Ce vide lumineux
Qui nous accompagnait
Ni ce soleil levant
La trouée où l'hiver
Tout à coup rajeuni
Nous livrait sans attendre
Un fabuleux printemps
Jean Lavoué
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