Aurions-nous peur de la nuit
féconde
Où s’enfantent nos souffles
Franchirons-nous sans faiblir
La porte de lumière
Laisserons-nous croître le jour
Perchés sur les épaules du silence
Serons-nous de ces éveilleurs
Qui hument avec ferveur
L’intensité des matins
Jean Lavoué
.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire