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samedi 9 mai 2015

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Photo JL le 6 mai 2015
Quelque part sur la route entre Hennebont et Albi...





Dire que si j’avais pu marcher
Jamais peut-être je n’aurais fait
Au fond de moi tous ces voyages
Mon cœur toujours en pèlerine
Cette marée au bout des branches
Cette clarté de blancs nuages
Ce feu follet d’herbes sauvages
Et partout dans les airs
Ce poème qui m’accompagne
Comme un frisson d’enfance

Jean Lavoué















































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1 commentaire:

Azalaïs a dit…

Pourtant la poésie vient en marchant, en partageant les joies infimes du chemin

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