La cité antique de Palmyre - JOSEPH EID / AFP
ON VIT.
Avec cet espoir fou qui nous consume et nous tient en éveil.
Avec ces simples mots,
ces pauvres mots usés,
fatigués, déchirés par
l’impossible innocence du monde,
mais qui résistent au
temps qu’il fait, au temps qui va,
comme ces ruines
immobiles gardiennes de civilisations perdues
et qui défient,
parfois, l’insoutenable.
On sait pourtant qu’ici, demain, ou juste après,
On sait pourtant qu’ici, demain, ou juste après,
il faudra changer de
lumière.
Jean-Pierre Spilmont
.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire