Photo by © Yustinus Kao
Léger comme le souffle
D’une flûte silencieuse
L’appel ténu de l’intériorité
Le frôlement d’une caresse
Oublieuse de la nuit
Par cette non-puissance
Te laisseras-tu toucher ?
Un visage d’enfance
Tout à coup qui te hèle
Un écho très secret
De ces heures disparues
Où la source de vivre
Restait à ta portée.
Peux-tu prendre chez toi
La pauvreté de ce chant
Peux-tu le laisser faire
Lui qui ne sait que donner !
Jean Lavoué
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